XHTML 1.0 Validé CSS Validé ©2006 Édouard SIHA-ARCELUZ Utilisez Debian GNU/Linux! Utilisez Firefox! Linux On Laptops Da Linux French Page | Lea-Linux | Wikipedia | Debian GNU/Linux | O'Reilly

Le grand bazar de zir0faive

La mode du télé-flicage des enfants

Au départ, c'est une nouvelle un peu insolite qui m'a fait réagir sur le sujet de la télésurveillance des enfants par leurs parents. Et puis après, comme à mon habitude, je me suis enflammé...

A la fin de l'article donné en lien juste au dessus, on peut lire ceci:

Stefan Sewöster a une idée susceptible de convaincre les parents: afin que leurs rejetons ne se nourrissent pas seulement de chocolat et de coca-cola, des limites de débit pourraient été fixées sur le compte correspondant à l'empreinte digitale, que ce soit pour les boissons ou les sucreries.

C'est la mode le flicage parental ou quoi? Chaque mois apporte son lot de solutions de flicage des enfants par leurs parents: puce hypodermique géolocalisable (sisi, ça existe, ça a même quelques années), téléphone portable avec émetteur GPS intégré et maintenant surveillance à distance de la nourriture. Autant pour les deux premiers l'argument fallacieux de la sécurité de ces chères têtes blondes peut être parfois avancé, autant pour le troisième je trouve ça carrément rajouté. Mais laissez-les vivre ces enfants! A force de les surveiller par tous les moyens technologiques possibles et imaginables, ils vont tous tourner à la paranoïa! Plutôt que de lancer des diatribes acerbes à l'égard de tous ceux qui imaginent et mettent au point de tels procédés, je me contenterai de citer la sagesse de Benjamin Franklin: Those who would give up Essential Liberty to purchase a little Temporary Safety, deserve neither Liberty nor Safety., traduisible par "Ceux qui abandonneraient une Liberté Essentielle pour obtenir un peu de Sécurité Temporaire ne méritent ni Liberté ni Sécurité" et souvent paraphrasé en "Une société prête à échanger un peu de liberté contre un peu de sécurité ni mérite ni l'un ni l'autre et finira par perdre les deux."

Installer les pilotes propriétaires nVidia sous GNU/Linux

Vous avez une carte graphique nVidia sous GNU/Linux et vous en avez marre de jouer avec des saccades à Tux Racer ou que Google Earth avance à la vitesse d'un Queen Elisabeth 2 qui serait mû par un matelot manchot armé de rames? Alors il serait temps d'installer les pilotes graphiques malheureusement propriétaires mais qui ont l'avantage de faire profiter de l'accélération matérielle.

Après quelques recherches sur le net, vous vous apercevez qu'il existe autant de façons d'installer ces fichus pilotes que de directions indiquées par une rose des vents complète (soit 32 directions). Et vous vous apercevez aussi qu'il "y en a qui ont essayé; ils ont eu des problèmes" et qu'ils sont nombreux à avoir essayé les bougres! Voici donc comment faire (enfin chez moi ça marche comme ça):

Installer les sources et les en-têtes du noyau que vous utilisez

Si vous avez compilé votre noyau, vous devriez avoir. Sinon, sous une Debian, ça donne ça:

# apt-get install linux-source linux-headers

Télécharger le script d'installation chez nVidia

Allez donc sur le site officiel de nVidia pour récupérer la dernière version du script (100.14.03 à l'heure où j'écris ceci).

Terminer X

Passez sous une console (genre Ctrl+Alt+F1), connectez-vous en root et tapez ceci (sous Debian toujours) en remplaçant X par, selon ce que vous utilisez, k, g ou x:

# /etc/init.d/Xdm stop

Effectuer l'installation

Placez-vous dans le dossier où vous avez récupéré le script d'installation nVidia et tapez ceci:

# chmod a+x NVIDIA* && ./NVIDIA*

L'installation démarre alors, validez les petites questions qu'il vous pose et attendez gentiment. Si la loutre bourrée à la bière se vautre et que dans le fichier de log de l'installation vous voyez un problème de droits sur un fichier genre script/basic/fixdep, faites un beau chmod -R a+x sur le dossier où se trouvent les sources du noyau. Je sais, c'est sale de donner un droit d'exécution sur tout et pour tous, mais ça a le mérite de fonctionner et rien n'empêche d'enlever lesdits droits une fois l'installation passée.

Lancer X

Maintenant que l'installation est finie, il n'y a plus qu'à relancer X:

# /etc/init.d/Xdm start

Comme précédemment, il faut remplacer X par la lettre qui convient. Vous devriez voir apparaître un logo nVidia en plein écran avant d'avoir l'invite d'identification. Si oui, youpi, pensez juste à retourner sous la console pour vous déconnecter de root. Si non, cherchez sur le Net ou patientez le temps que je mette de quoi régler les problèmes les plus courants.

Saisie multi-langues sous Debian (avec KDE)

Scenario: Vous papotez gaiement sur IRC avec votre XChat favori et un ami va se coucher. Vous voulez faire le malin et lui souhaiter bonne nuit en japonais. Plusieurs possibilités s'offrent à vous:

  1. Vous lui dites «bonne nuit» en singeant un accent japonais. C'est inutile puisqu'on ne vous entend pas sur IRC et accessoirement les éventuelles personnes vous entourant croiront que vous avez une araignée au plafond. Vous gagnez 0 point frime.
  2. Vous lui dites «oyasumi». C'est pas mal, mais vous ne frimez qu'à moitié puisque vous utilisez les caractères latins. Vous gagnez 1 point frime.
  3. Vous utilisez canna et kinput2. Vous êtes quand même obligé de lancer un terminal pour taper quelques commandes, quitter XChat et le relancer depuis le terminal configuré avec la saisie en japonais. Revenu sur le canal, vous activez la frappe japonaise et vous tapez おやすみ. Pas mal du tout, mais il y a de fortes chances qu'il se soit barré votre ami depuis le temps. Vous gagnez 2 points frime. Alternative: pour ne pas relancer XChat, vous pouvez aussi ne lancer qu'un éditeur de texte et copier/coller les hiragana.
  4. Vous utilisez SCIM et là en un coup de [Maj]+[Espace] vous passez en saisie japonaise et vous tapez おやすみ sans avoir à vous soucier de quoi que ce soit d'autre que de taper les bonnes syllabes. Yeah, ça déchire, la frime est totale et votre ami va se coucher en se demandant "Mais keument kilafai?" (à prononcer façon Gad Elmaleh). Vous gagnez 5 points frime!

Plus sérieusement, pour pouvoir tapoter du japonais peinard, il faut 3 choses: les polices de caractères adéquates, la localisation d'entrée et de quoi passer d'une localisation d'entrée à l'autre.

Les polices de caractères

Un court dessin vaut mieux qu'un long discours alors ouvrez une console et tapez:

# apt-get install ttf-kochi-gothic ttf-kochi-mincho

À présent, si vous allez sur Yahoo Japon, vous devriez voir de magnifiques hiragana, katakana et kanji au lieu d'immondes carrés ou points d'interrogation.

La localisation d'entrée

On va reconfigurer les «locales» afin d'inclure la localisation japonaise ja_JP.UTF-8 UTF-8 en plus de celle(s) que vous utilisez déjà. Pour cela, notre ami dpkg est là:

# dpkg-reconfigure locales

Sélectionnez ja_JP.UTF-8 UTF-8 en plus de ce que vous avez déjà et validez. Ça génère le bazar et c'est bon.

De quoi passer d'une localisation d'entrée à l'autre

On va installer SCIM et skim. Dans cet exemple, j'installe aussi scim-anthy et scim-tables-ja. Ces deux paquets fournissent la même chose: gérer la méthode de saisie en japonais. Cependant ils le font de façon différente: le premier s'approche (ou est identique je ne sais pas) de la méthode de saisie employée par les japonais et le second serait plus adapté aux débutants. J'ai installé les deux pour les tester et choisir celui qui me convient le mieux. Sachez donc que l'un des deux est nécessaire mais que vous pouvez installer les deux. Grâce au jeu des dépendances, la commande suivante devrait suffire:

# apt-get install skim scim-anthy scim-tables-ja

Une fois que tout est installé, il faut maintenant indiquer au système qu'on va utiliser SCIM pour la saisie. Selon que vous voulez définir la méthode d'entrée pour tout le système ou pour vous uniquement, vous lancerez la commande suivante en tant que root ou non (ici, oui):

# apt-get install im-switch
# im-switch -s scim

Il ne vous reste qu'à relancer X avant de passer à la configuration. Note: Lorsque j'ai relancé X, KDE m'a fait la gueule concernant la non-exécution du serveur DCOP. Une fois ma session ouverte, j'ai donc ouvert une console et tapé "dcop". Le client listait bien les applications compatibles DCOP lancées, j'ai donc supposé qu'il s'agissait d'une fausse alerte.

La configuration de skim

Ouvrez le menu K, allez dans «Utilitaires» et cliquez sur «Skim Méthode de saisie». L'icône de Skim apparaît alors dans la barre des tâches. Faites un clic droit dessus et choisissez «Configuration». Dans l'onglet «Général», j'ai juste indiqué que mon clavier est français. Dans l'onglet «Autres», indiquez "scim-panel-kde" pour «Programme Panneau» et "kconfig" pour «Module de Configuration». Cochez ensuite la case «Avancé» et cliquez sur le bouton «Modifier» qui apparaît. Ajoutez et/ou supprimez des entrées pour avoir votre locale habituelle et la locale japonaise. Pour connaître votre locale actuelle, tapez "locale" dans une console.
Chez moi, ça donne ça:
Configuration des locales sous skim
Configurez le reste à votre sauce, validez et n'hésitez pas à relancer skim (clic droit/quitter) si nécessaire pour que les paramètres soient pris en compte. Si tout s'est bien passé, vous devriez voir l'icône de skim se transformer en icône de clavier. Si oui, c'est que c'est configuré.

Utilisation de la saisie

Ouvrez votre XChat chéri (ou n'importe quelle application dans laquelle vous pouvez taper du texte) et faites [Maj]+[Espace]. L'icône de skim change et une petite palette de configuration apparaît. Amusez-vous bien (ou travaillez bien, c'est selon). Pour passer en revue les différentes possibilités proposées pour votre saisie, appuyez sur [Espace]. Pour valider ce mot et passer au suivant, appuyez sur [Entrée]. Pour quitter la saisie, appuyez de nouveau sur [Maj]+[Espace]. Pour installer d'autres langues que le japonais, installez les polices et locales correspondantes. Installez aussi les paquets scim-* correspondants. すごいね!

Écran de démarrage sous Debian en mode utilisateur

Cet article n'est pas encore terminé.

Jusqu'à recemment, je pensais que la seule manière d'avoir un écran de démarrage sous Debian était d'utiliser bootsplash et de recompiler son noyau après l'avoir patché. Cette méthode ne me plaisait que moyennement pour une raison simple: généralement j'utilise des noyaux très récents et au moment où je veux le compiler, le patch pour bootsplash correspondant n'est pas encore sorti. N'étant pas du tout habitué au développement noyau, j'avais laissé tombé cette histoire d'écran de démarrage. Cependant (c'est dingue ce que je peux être cyclique), récemment j'ai cherché s'il existait une alternative à bootsplash. Si j'écris cet article, c'est évidemment que j'en ai trouvé une: Splashy.
Je vais donc m'employer à décrire ici l'installation et la configuration de Splashy. Si vous êtes sages, vous aurez aussi droit de lire la création de thèmes.

Prérequis

Votre noyau doit avoir le support du framebuffer activé (s'il est récent, il n'y a pas de raison que cela ne soit pas le cas, sauf si vous l'avez compilé vous-même) et être de la série 2.6.

Installation des paquets

À l'heure où j'écris ces lignes, les paquets de splashy version 0.3 ne sont pas disponible dans etch (ni même dans sid, excepté les thèmes). Je vous invite donc à aller télécharger les paquets .deb sur la zone d'hébergement du projet.

Polémique: France Télécom et le dégroupage total

Attention, tout ce qui est avancé ici n'est que pure supposition. Ce qui suit n'a pas vocation à être une quelconque enquête dont les conclusions seraient étayées par des preuves formelles et indiscutables. Le texte qui suit n'est que le fruit d'un raisonnement, d'une pensée et d'une imagination.

Du jeudi 7 décembre 2006 au mercredi 24 janvier 2007 je n'avais plus de synchronisation. En français: ma ligne téléphonique a été coupée. Il s'agirait à mon sens d'un acte de malveillance de la part de France Télécom (et apparemment je ne suis pas le seul à avoir été dans ce cas). Pourquoi France Télécom ferait-il cela?

Depuis l'ouverture du marché des télécommunications à la concurrence il y a une dizaine d'années, l'ART (devenue l'ARCEP en mai 2005) tient bien serrée la laisse de France Télécom. En effet, si les tarifs de l'opérateur historique sont plus élevés que ceux des concurrents c'est tout simplement parce que l'ARCEP limite leurs baisses de tarifs pour qu'une "concurrence saine" puisse s'installer sur le marché des télécommunications français. Vous imaginez donc la tronche qu'ils doivent tirer à voir partir petit à petit la France entière chez des concurrents sans pouvoir réagir... À leur place en tout cas, je ferai la gueule.

Si le départ vers les concurrents était modéré du temps des liaisons RTC avec les modems 56K, l'arrivée de l'ADSL puis du dégroupage total a bien changé les choses. Que peut faire France Télécom pour conserver ou récupérer ses clients? Côté tarifs, rien puisque l'ARCEP surveille de près. Côté marketing, que voulez-vous mettre en avant? La hotline? Encore faudrait-il qu'elle sorte du lot. Les débits? Ce sont les mêmes ailleurs, pour moins cher. Côté services? Ça vient, doucement, mais ça vient: le "dégroupage total" version Orange arrive, idem pour les téléphones WIFI qui permettent de téléphoner gratuitement en VoIP quand le mobile est à portée de la Livebox.

Mais je doute que cela suffise, encore et toujours à cause des tarifs. Cependant, selon moi, France Télécom a trouvé un moyen pas mal du tout: dégoûter les gens de la concurrence. On part d'un constat simple: la boucle locale appartient toujours à France Télécom (normal, c'est eux qui les ont posés ces fils, faut pas déconner non plus). Pour faire du dégroupage total, France Télécom loue la boucle locale aux concurrents. Puisque ces fils leur appartiennent, France Télécom est le seul habilité à faire des interventions dessus.
Que se passe-t-il si France Télécom pioche périodiquement dans la liste des lignes en dégroupage total un gagnant dont ils iront débrancher la ligne quelquepart entre le commutateur local et la prise téléphonique?

Côté client

Il y a fort à parier que le client aura des raisons de s'impatienter et d'être mécontent:

  • Le gagnant (ou perdant, comme on veut) n'a plus d'accès à Internet, de téléphone fixe ni de télévision numérique. Autant dire que c'est le genre de situation bien rageante. Plus rien ne fonctionne: 1er point de mécontentement.
  • L'utilisateur utilise alors son téléphone mobile pour contacter l'assistance de son FAI qui est en numéro surtaxé. Ça coûte super cher: 2ème point de mécontentement.
  • Le FAI fait un test de position, c'est à dire une vérification de ses propres équipements dans les 3 jours. Le test est évidemment positif (tout fonctionne correctement de leur côté). Le FAI déclenche alors un ticket GAMOT pour que l'opérateur historique teste ses installations. France Télécom répond dans les 3 jours par un STT (Signalement Transmis à Tort): tout fonctionne de leur côté. Une semaine après le début de l'incident, on ne sait pas à quoi s'en tenir: 3ème point de mécontentement.
  • Le FAI dépèche alors chez le client un technicien qui va s'assurer que le problème ne vient pas de l'installation du client. Il faut être présent chez soi sur une demi-journée en semaine: 4ème point de mécontentement.
  • Une fois les installations côté client mises hors de cause, on recommence la chanson avec 3 ou 4 successions de tests de position et tickets GAMOT, histoire d'exclure les erreurs humaines et surtout de pouvoir demander une expertise de ligne. On est à au moins un mois du début de l'incident et rien n'a bougé: 5ème point de mécontentement.
  • Une expertise de ligne doit alors être réalisée conjointement par un technicien de France Télécom et un technicien du FAI. Lorsqu'une plage horaire adéquate a été trouvée entre les deux services techniques, il faut à nouveau être présent chez soi une demi-journée en semaine. Les techniciens font 2 ou 3 vérifications et en un quart d'heure le problème est réglé. Quelle incompétence, il a fallu un mois et demi pour un si petit problème: 6ème point de mécontentement.

Si le client n'a pas résilié son abonnement en cours de route, il y a de fortes chances qu'il aille voir ailleurs, et pourquoi pas chez France Télécom tiens. "Si c'est plus cher, finalement c'est peut-être tout simplement le prix de la compétence et de la qualité de service."

Côté FAI

Le FAI va probablement débourser un peu d'argent pour "rien":

  • L'appel des clients débranchés vers la hotline vient encombrer encore un peu plus les standards téléphoniques. Puisque chaque conseiller passe entre 5 et 15 minutes en moyenne avec un client, maintenir un temps d'attente raisonnable va petit à petit rendre nécessaire une augmentation du nombre de conseillers, donc des salaires à payer en plus. Une hotline ça coûte bien plus que ça ne rapporte et encore plus quand on limite le temps d'attente: 1er point de dépense.
  • Un test de position consiste à brancher un modem ADSL juste avant la boucle locale et vérifier que la synchronisation s'établit correctement. Il faut payer la main d'oeuvre et le déplacement de chaque test de position: 2ème point de dépense.
  • Lorsqu'un technicien vient vérifier les équipements réseau du client, il s'assure que le matériel est compatible avec l'ADSL, en état de marche et correctement branché. Il effectue aussi quelques tests pour déterminer si du signal arrive sur la prise téléphonique. Si le client est hors de cause, l'intervention du technicien est offerte (chez Free en tout cas). Il faut payer la main d'oeuvre et le déplacement pour la vérification des équipements: 3ème point de dépense.
  • Pour qu'une expertise de ligne soit acceptée par France Télécom, il faut qu'il y ait eu 3 tickets GAMOT avec un retour en STT sur une période inférieure à 30 jours. Quand on sait qu'un tel ticket est facturé aux environs de 200 € au FAI et que les tickets dont le retour est un STT ne sont pas remboursés par l'opérateur historique, ça donne envie de faire des calculs. À 30 € l'abonnement par mois, obtenir une expertise de ligne coûte 20 mois d'abonnement au FAI. Obtenir une expertise, c'est devoir perdre du temps et de l'argent: 4ème point de dépense.
  • Une expertise de ligne est conduite par un technicien de France Télécom accompagné d'un technicien du FAI. Ensemble, ils parcourent la ligne depuis l'intérieur de la maison jusqu'au NRA pour trouver le point où est la ligne est coupée. L'expertise de ligne sera aux frais de France Télécom puisque le problème vient d'eux, pas de dépense sur ce point mais néanmoins la mobilisation d'un technicien.
  • Au final, le client demande à être remboursé des prélèvements effectués pendant la période d'incident. En plus de coûter de l'argent, il y a un manque à gagner: 5ème point de dépense.

J'ajouterai à cela la mauvaise publicité que cela fait pour le FAI car, c'est bien connu, les gens râlent autour d'eux quand ça ne va pas mais ne disent rien quand ça va.

Au final France Télécom y gagne ou en tout cas le FAI y perd, il n'y a pas photo. Espérons juste que cela ne soit que pure spéculation et que la paire de fils enfermée dans un boitier perché à presque 3m de haut se soit débranchée toute seule...

Page générée en 5 ms. Site conçu pour des résolutions d'au moins 1024x768. Si la mise en page est de mauvaise qualité c'est que vous utilisez Internet Explorer. Pensez à utiliser un vrai navigateur comme Mozilla Firefox.